Cassandre:

« Juliette Morel nous emmène avec intensité, invention et charme dans les sombres méandres de la prêtresse-prophète Cassandre et, dans un subtil mélange d’images audiovisuelles et de danse contemporaine, nous livre en 45 minutes une vision de ce personnage de légende et de mythologie aussi surprenante que bouleversante »-« Une perle rare »

–Pierre Santini

 

« Un grand moment de danse contemporaine … Juliette Morel est divine « 

–Patrick Denis (La Provence)

 

« Une magnifique danseuse et chorégraphe qui subjugue (…) Un magnifique travail qui nous laisse désemparés. Juliette Morel est une artiste dont l’expression atteint des limites insoupçonnées. »

–Jean Michel Gautier (journaliste / La Marseillaise)

 

« Sa danse vient de l’intérieur, tire sur l’expression pour mieux sortir de ses tripes, revenant plusieurs fois au sol sans pour autant abandonner l’idée de la forme ou de la grâce. »

–Nathalie Yokel (journaliste / La Terrasse)

 

L’ensorcèlement ne nous a pas laissé plus que ça de discernement ! »

–Jean-Yves Bertrand (journaliste / Boîte à culture / Paca)

L’Attente

Solo dance Contest / Gdansk

FINALIST : L’ATTENTE, JULIETTE MOREL, MUSIC: ARVÒ PÄRT

 » … full of emotions story of an unrequitted love. The dancer moved with a great grace, the movement in the performance was not too fast, refined and thought, as carefully presented elements of classic ballet.”

-Mirosław Baran

« Juliette Morel chose a topic which is not easy because it comes from the world of everyday emotions, where it is easy to be trivial on one side, and elevated on another; she escaped these traps. L’Attente is a full of grace and simplicity etude about waiting. The dancer … leads her narration mostly with very plastic hands: the pendulum swings emotionlessly, minutes go tediously, loneliness burns anxiously.”

-Hanna Raszewska:

 

Journal La Terrasse

DANSE – ACTUALITÉ

Théâtre de Menilmontant Juliette Morel 
CASSANDRE
Publié le 9 novembre 2012 – N° 203
Le solo de Juliette Morel, chorégraphe de la compagnie Liocorno, met en scène la figure de la prophète, et, à travers elle, un certain état du féminin.

Une belle robe rouge sang ceint le corps de la danseuse, apparue dans une brume, comme échappée de la forêt. Juliette Morel incarne Cassandre, à un moment de son histoire où elle « retire son bandeau de prêtresse pour fuir les railleries et l’opprobre. » Abandonnée seule à elle-même, la jeune femme semble se débattre avec ses démons, à vouloir laisser derrière elle un vécu lourd à porter. Sa danse vient de l’intérieur, tire sur l’expression pour mieux sortir de ses tripes, revenant plusieurs fois au sol sans pour autant abandonner l’idée de la forme ou de la grâce. Il semble que la chorégraphe, avec son grand parcours d’interprète et la diversité de ses formations (gymnastique, danse contemporaine, classique, Nikolais, danse butô…), n’a pas oublié ses quelques années passées avec Karine Saporta. On y retrouve une certaine idée du féminin, soutenue par les images vidéo, et la sensation d’un baroque contenu.

–N. Yokel / La Terrasse

MDC Gennevilliers

L’Attente

Nouvelle République / Amboise